Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dictature sanitaire - Page 5

  • « Si on dit à des gens de ne pas sortir…mais qu’ils sortent quand même, nous serons désarmés »

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2021

    « Si on dit à des gens de ne pas sortir…mais qu’ils sortent quand même, nous serons désarmés »

    Des appels circulent sur les réseaux appelant à la fin de la dictature sanitaire au 1er février :

    Ces appels sont visiblement pris au sérieux et un article du Parisien indique que les autorités ne sauraient pas vraiment comment réagir :

    Cette France des gilets jaunes, des petits commerces, restaurateurs, des emplois suspendus pour cause de crise sanitaire, est en train de mourir. Et quand un peuple meurt, il n’a plus rien à perdre.

     

    Source : lesalonbeige

  • Mosaïque de dessins sur la dictature sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2020

    Auteur : 

    Ci-joint une mosaïque de dessins récents, assemblés pour mettre en lumière la dictature sanitaire en cours.
    Sans aucun texte.

    Tout ça pour ça ?!
    Ben oui, tout ça pour ça
  • Jean-Yves Le Gallou : « Comme Antigone, résistons à la dictature sanitaire ! »

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2020

    Jean-Yves Le Gallou : « Comme Antigone, résistons à la dictature sanitaire ! »

    Nous republions aujourd’hui ce texte de Jean-Yves Le Gallou, initialement publié le 24 avril dernier. Consacré à l’absurdité et la violence de la répression sanitaire liée au confinement, ce texte ne niait pas le sérieux potentiel de l’épidémie mais rappelait quelques principes civilisationnels essentiels à propos desquels il ne fallait pas transiger. Alors que les autorités français imposent – contre tous les avis médicaux – le port du masque obligatoire en plein air dans de nombreuses villes, ce texte de Jean-Yves Le Gallou résonne avec encore plus de force.
    Polémia

    Par Jean-Yves Le Gallou ♦ Antigone est la pièce la plus célèbre du répertoire européen. L’argument de Sophocle est simple : au nom de l’État, le roi de Thèbes, Créon interdit que des honneurs funéraires soient rendus à Polynice, qui a désobéi ; au nom des lois divines, Antigone brave les lois de l’État pour enterrer son frère et le paiera de sa vie.
    Macron est un Créon au petit pied.

    Sa maréchaussée a verbalisé une femme venue saluer – de l’extérieur – son vieux mari reclus dans un EHPAD. Et un gendarme a empêché un fils d’assister aux derniers instants de son père. Certes, les généraux de gendarmerie se sont confondus en excuses. Mais le mal est fait.

    Soucieuse d’égaliser la marque avec la gendarmerie, la police nationale a signalé au procureur de Paris une messe (à Saint-Nicolas du Chardonnet) qui se serait tenue en présence – officiants et techniciens vidéo pour la retransmission compris – de 22 personnes : dans une église capable d’accueillir plus de 1.000 personnes…

    Ce zèle imbécile n’est pas neutre : il porte atteinte aux liens les plus intimes et au sacré.

    La dictature sanitaire a aussi effacé d’un trait de plume la liberté de circulation. Les randonneurs sont traqués par hélicoptère et les résidents secondaires font l’objet d’enquêtes judiciaires. Le confinement est implacable. Assujettis à demeurer sur place comme des détenus sous bracelet électronique.

    Un bracelet électronique évoqué, d’ailleurs, pour le « déconfinement » puisque celui-ci pourrait être conditionné à un (auto)-flicage numérique assuré par les téléphones portables. Annoncée, au moins comme hypothèse à débattre, par Macron dans son allocution du 13 avril, voici une belle manœuvre en trois temps :
    – premier temps, on vous confine,
    – deuxième temps, on accepte de vous déconfiner en échange de votre acceptation d’une laisse électronique,
    – troisième temps, la laisse est obligatoire pour tout le monde.

    La liberté d’expression est, aussi, gravement mise en cause. Dès le 24 février, l’ancien préfet Laurent Solly, PDG de Facebook France, choisissait France Info pour annoncer que le réseau social qu’il dirige « régulerait » (c’est-à-dire censurerait) les informations préjugées fausses. Le tout en liaison avec les fact-checkers subventionnés de Libération, du Monde et de l’AFP. Des fact-checkers qui n’ont pas dénoncé un seul mensonge gouvernemental mais traqué toute opinion différente, divergente ou dissidente.

    La dictature sanitaire est aussi, bien sûr, une dictature médicale. Et même une triple dictature médicale.

    D’abord parce que toutes les décisions ont tendance à être prises sous le seul aspect médical. Or, la vie, ce n’est pas seulement du quantitatif (vivre les plus longtemps possible), c’est aussi du qualitatif (vivre le mieux possible, vivre libre, dignement, socialement, économiquement). Ce n’est pas à des comités Théodule – fussent-ils baptisés « scientifiques » – d’imposer des choix politiques. Il serait temps que les experts – qui, au passage, se sont beaucoup trompés ! – se calment. Les années de vie se comptent en printemps : pourquoi avoir volé un printemps à 67 millions de Français en fermant les parcs et les forêts, bien au-delà des nécessités de la distanciation et des gestes barrière ? Pourquoi priver de toute visite des personnes très âgées dont l’espérance de vie se compte en quelques années, voire en quelques mois, sinon en quelques jours… Il arrive à la technocratie médicale de manquer d’humanité, sinon de sens commun.

    Ensuite parce que la liberté de prescription a été mise en cause, notamment dans l’affaire de la chloroquine. L’État – la technocratie médicale proche des laboratoires – s’est immiscé dans la libre relation entre le médecin et le patient, fondement du serment d’Hippocrate. Chef de service à l’hôpital de Garches, le professeur Perronne s’est insurgé contre la dictature de la direction générale de la santé (DGS) et des agences régionales de santé (ARS). Il a affirmé : « La France est en train de dérailler. En Allemagne, les médecins sont libres. Ici, tout est fliqué. C’est infernal, j’ai l’impression de vivre sous une dictature. Tous ces médecins administratifs qui n’ont pas un vu un malade depuis 20 ans nous font la leçon. »

    La prochaine étape, c’est la vaccination obligatoire couplée avec une puce électronique permettant de vérifier en permanence que l’homme-matricule est en règle. Si c’est technologiquement possible, cela sera imposé… au nom du bien, bien sûr.

    L’épidémie de coronavirus n’est pas une « grippette ». Elle est sérieuse. Et des mesures de prévention et de précaution étaient d’autant plus nécessaires que le gouvernement a failli dans d’innombrables domaines (gel, masques, tests, respirateurs, fermeture des frontières, etc.).

    Pour autant, il faut refuser la régression civilisationnelle qu’on nous propose. La mise à bas de nos libertés. Le printemps qu’on nous vole. Et le bouleversement de notre rapport à la nature, à la vie, à la mort, au sacré et au divin.

    Face à Créon, prenons le parti d’Antigone !

    Jean-Yves Le Gallou
    24/04/2020

     

    Source : Boulevard Voltaire

    Crédit photo : VladoubidoOo [CC BY-SA 3.0]

  • Dictature sanitaire : Des gendarmes interpellent un magasinier pour port du masque non conforme

    Publié par Guy Jovelin le 23 août 2020

    La répression gouvernementale ne reculera devant rien pour imposer la terreur sanitaire.

    La population aimerait voir les forces de l’ordre agir avec autant de vigueur dans les zones de non droit qu’elle en utilise pour interpeller un magasinier qui porte un masque de travers qui l’empêche de respirer.

    Nous risquons tous d’être confrontés à un moment ou un autre à des arrestations arbitraires et passer quelques heures en garde à vue pour port non réglementaire de la muselière. Bien entendu le motif officiel sera au choix : rébellion, outrage ou tout ce qui plaira à ceux qui auront mené l’interpellation.

     

    Source : medias-presse.info

  • Dictature sanitaire en Italie : menace de séquestration d’enfants par l’Etat

    Publié par Guy Jovelin le 18 août 2020

    Il n’y a pas qu’en Allemagne où, sous couvert de lutter contre la propagation du coronavirus, l’Etat menace de retirer les enfants de leur famille.

    En Italie, le directeur de l’école polyvalente Dante Alighieri, allant du primaire au collège, de Lumezzane Pieve dans la région de Brescia, a décrété des mesures « à la coréenne » :

    « En cas de fièvre d’un enfant à l’école, appelez les carabiniers et confiez-le non pas à ses parents, mais à l’autorité sanitaire. »

    Si la mesure a entraîné une levée de bouclier de la part de nombreux parents et a pu ainsi être annulée, le directeur s’est défendu en affirmant l’avoir également vu appliquée dans d’autres établissements.

    Voici ce qui a été publié sur le site Internet de l’école le 6 août et modifié seulement le mercredi 12, une semaine plus tard. Au point sept, dans les informations sur la reprise des cours après la pause estivale et le confinement, on peut lire :

    « En présence de symptômes respiratoires ou de température corporelle supérieure à 37,5 ° C pendant les heures de classe, une procédure rigide est déclenchée pour les élèves qui comporte les étapes suivantes :

    – l’élève doit être immédiatement équipé d’un masque chirurgical;

    – sera placé en isolement dans la salle Covid;

    – l’enseignant doit appeler immédiatement le 112 ou le 1500;

    -les parents ne pourront en aucun cas retirer leur enfant de l’école, qui sera confié à l’autorité sanitaire.

    Par conséquent, à la lumière du protocole strict, les parents sont vivement encouragés à appliquer scrupuleusement les recommandations mentionnées au point précédent. »

    « Isolement dans une pièce couverte, alerter les carabiniers, confier l’enfant en garde à l’AST local et empêcher les parents d’entrer. Peut-être même à Sparte, ils n’étaient pas aussi drastiques » ironise un journaliste du quotidien La Nuova Bussola Quotidianna qui révèle cette information.

    Ce n’est qu’une semaine après, suite aux protestations des familles, que l’école a dû réécrire les informations comme suit :

    « En cas d’apparition de symptômes évocateurs d’un diagnostic d’infection par le SRAS-CoV-2 à l’école, la personne concernée doit être immédiatement isolé et équipé d’un masque chirurgical, et il faudra prévoir un retour le plus rapidement possible au domicile, puis suivre le parcours déjà prévu par la loi en vigueur pour la prise en charge de tout cas suspect. »

    Si la séquestration d’enfants par les services sanitaires est écartée, cette affaire confirme cependant qu’en Italie, tout comme en Allemagne et bien d’autres Etats occidentaux, se développe une mentalité, digne de l’idéologie marxiste,  qui considère que l’Etat est le « maître » des enfants, qu’il en a le contrôle physique et mental, que l’enfant est « propriété » de l’Etat. La crise du coronavirus rime avec dictature tout court !

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info